Les humains sont beaucoup moins poilus que les autres primates.
La preuve :

L’hypothèse la plus communément acceptée à ce sujet veut que, durant notre évolution, nous ayons eu besoin d’avoir un meilleur contrôle sur notre température interne. La disparition des poils nous aurait permis de mieux résister à la chaleur.

Des chercheurs anglais ont une autre théorie :

La disparition des poils aurait pu nous permettre de nous débarrasser de nos parasites. En effet, de nombreux parasites se servent des poils pour se fixer sur les animaux ou pour y déposer leurs œufs.

La faible pilosité serait devenue un critère de sélection lors de l’accouplement. Les pré-humains les moins poilus étant moins susceptible d’être porteurs de parasites, ils furent plus fréquemment sélectionnés pour l’accouplement.

C’est ainsi que le caractère se serait propagé dans notre espèce... jusqu’à l’iconographie de nos modèles masculins sur les publicités (on peut difficilement faire plus glabre ou imberbe) !

P.-S.